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Nous replantons ici, l'ensemble des cépages oubliés historiques de Bordeaux,
dans une approche biodynamique, respectueuse du terroir.
Les dernières publications
Découvrez ce qu'il se passe dans notre domaine en ce moment !
Raconter une histoire.
Toutes les étiquettes de Cazebonne comporteront un texte explicatif, donnant des informations sur le millésime, sur...
Raconter une histoire.
Toutes les étiquettes de Cazebonne comporteront un texte explicatif, donnant des informations sur le millésime, sur la cuvée...
Parce que trop souvent, on retrouve des bouteilles en cave et on ne sait plus si on peut les boire, ce que le vigneron a voulu faire...
Une bouteille mérite bien son mode d’emploi. C’est pas toujours si simple de comprendre un vin. moins
Catégories: La gamme de Cazebonne, La cuvée Entre amis, Les étiquettes de Cazebonne, La cuvée Peyron-Bouché
Souvenir d’enfance, ma madeleine de Proust.
L’autre jour David nous a servi une magnifique salade de tomates dans ce plat. Je l’avais...
Souvenir d’enfance, ma madeleine de Proust.
L’autre jour David nous a servi une magnifique salade de tomates dans ce plat. Je l’avais oublié ce plat.
Mes parents ont déménagé récemment et donné à Cazebonne un lot de vaisselle dont ils n’avaient plus usage, et parmi celui ci, ce plat en porcelaine.
Ce plat, je l’avais oublié, cela fait peut être 20 ans que je ne l’ai pas vu. Il était de service à presque tous les repas à la maison, le seul qui puisse contenir la quantité suffisante pour nourrir notre fratrie de 5 garçons. Il débordait régulièrement de spaghettis à la bolognaise.
Il n’était pas rare que l’un de nous prononce la phrase rituelle ´C’est tout ?´ en voyant le plat arriver sur la table. Nous n’avons pourtant manqué de rien... moins
Catégories: La cuisine et le vin, Insolite dans les vignes
La mise en bouteille d’un millésime, c’est une fête. La finalisation souvent de 2 ou 3 années de travail.
Et cela mérite bien une petite...
La mise en bouteille d’un millésime, c’est une fête. La finalisation souvent de 2 ou 3 années de travail.
Et cela mérite bien une petite grillade avec l’équipe qui travaille sur la mise. 22000 bouteilles sur cette mise. moins
Catégories: La mise en bouteille, La gamme de Cazebonne
Ramassage de bouses de vache bazadaise chez l’eleveur Serge Chiappa, ce matin. Par un magnifique temps d’automne. Ces bouses...
Ramassage de bouses de vache bazadaise chez l’eleveur Serge Chiappa, ce matin. Par un magnifique temps d’automne. Ces bouses vint servir à l’élaboration des préparations de la biodynamie : la bouse de corne (500) et la Maria Thun.
On est allé goûter dans les amphores, les cépages oubliés 2018 de Loïc Pasquet (Liber Pater).
Les jus sont impressionnants : les Mancin...
On est allé goûter dans les amphores, les cépages oubliés 2018 de Loïc Pasquet (Liber Pater).
Les jus sont impressionnants : les Mancin (Tarnay) sont impressionnants ciselés, tenus par une belle acidité et un fruit noir intense. Les saint-macaire sont explosifs, chocolatés au nez et sur le fruit rouge en bouche (framboise, cassis). Les Castets sont puissants, tanniques, complexes. Les petit verdots bien mûrs, expressifs. Les cabernets donnent une grande finesse de tannins avec des acidités moyennes.
L’assemblage de toute cela risque d’etre détonant. On a hâte de goûter les nôtres sur Cazebonne. Mais il faudra patienter encore un peu. moins
Catégories: Les cépages oubliés de Bordeaux, Belles rencontres
ODG, QualiBordeaux et notre Graves blanc 2017, suite... Il y a trois semaines, nous vous faisions part de notre incompréhension...
ODG, QualiBordeaux et notre Graves blanc 2017, suite... Il y a trois semaines, nous vous faisions part de notre incompréhension suite à la dégustation de notre Graves blanc 2017, par l’organisme en charge de la dégustation de l’ensemble des vins mis en bouteille. Pour rappel, le vin avait été catégorisé en ´manquement majeur’ et qualifié d’amer, putride, croupi, réduit... Nous avons volontairement souhaité travailler cette cuvée sur le gras, sur la complexité, en vendangeant bien mûr, en ne cherchant pas à élaborer un vin thiolé. Par ailleurs, au niveau de la mise en bouteille, nous avons décidé de l’embouteiller sans filtration, en laissant des lies fines en bouteille. Le vin continue ainsi à travailler, à se complexifier, mais a pour effet de renforcer le caractère passager de réduction du vin. Nous avons le droit de proposer de nouveau ce vin à la dégustation dans les semaines qui suivent, mais la réduction ne disparaîtra pas avant plusieurs mois. Il est donc fort probable que nous recevions le même jugement. Nous avons donc fait un courrier à l’ODG pour demander que notre vin soit regoûté après le printemps. La réponse négative vient de nous parvenir. Il y a une règle, nous devons la respecter. Nous ne ferons pas appel. Nous sommes fier de ce vin. Il a du caractère et tous les dégustateurs à qui nous l’avons fait déguster nous le confirment. L’AOC, dans ses règles, a pour objectif de garantir une typicité auprès du consommateur. Elle interdit cependant l’innovation, le travail sur la complexité du goût. Le vigneron est le plus souvent contraint à se fondre dans le moule, de revoir sa pratique œnologique pour se conformer à la norme, celle du plus grand nombre. Face à ces contraintes, nous serons certainement contraint à adopter une stratégie double : des vins vinifiés pour être conformes à l’appellation dans nos cuvées les plus simples, et des cuvées parcellaires authentiques pour s’adresser aux amateurs... Affaire à suivre...