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Nous replantons ici, l'ensemble des cépages oubliés historiques de Bordeaux,
dans une approche biodynamique, respectueuse du terroir.
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Découvrez ce qu'il se passe dans notre domaine en ce moment !
Valentin à la manœuvre. On re-déguste tous les lots de 2020 pour voir comment cela évolue. On a cette...
Valentin à la manœuvre. On re-déguste tous les lots de 2020 pour voir comment cela évolue. On a cette année de magnifiques rouges avec beaucoup de fond. Les blancs en barrique goûtent aujourd’hui sur la réduction, il va falloir soutirer tout cela, enlever les lies tassées au fond de la barrique qui entraînent ce phénomène de réduction, et re-entonner. Mais la matière et la complexité sont là. Les lots de cuve sont gourmands et devraient permettre de réaliser de jolies cuvées Entre amis.
Magie de la nature ! Sur ces racines de fèveroles, on voit bien les nodules (les petites boules) qui hébergent les...
Magie de la nature ! Sur ces racines de fèveroles, on voit bien les nodules (les petites boules) qui hébergent les bactéries qui en symbiose avec la plante permettent de capter l’azote de l’air. La plante apporte en contrepartie des sucres, issus de la photosynthèse, indispensables à la vie des bactéries. La nature est bien faite. Elle a, en elle, toutes les solutions.
Notre vin de macération est parti pour une élevage de 12 mois dans ces barriques de 4 vins, ce qui va nous permettre de ne...
Notre vin de macération est parti pour une élevage de 12 mois dans ces barriques de 4 vins, ce qui va nous permettre de ne pas trop marquer le vin par le bois. Cette année, le vin de macération sera issu d’un 100% sauvignon issu de notre terroir de Peyron. Cela sera intéressant de comparer avec notre vin de macération 2019, issu d’une dominante de Semillon, de notre terroir de Graves de Cazebonne.
On ne peut pas réussir à tous les coups !
Nous avons décidé de reporter la commercialisation de notre petnat. Et pourtant, il est très très...
On ne peut pas réussir à tous les coups !
Nous avons décidé de reporter la commercialisation de notre petnat. Et pourtant, il est très très bon...
Mais cette mousse abondante à l’ouverture rend compliquée sa mise en marché. Si on le sait, ce n’est pas très grave, il suffit d’avoir un verre à portée de main. Mais pour le client non initié, il risque de perdre un tiers du volume de la bouteille.
Que s’est il passé ?
D’abord, on a mis en bouteille avec 15 grammes de sucre résiduel, ce qui est certainement trop. Tous les sucres ont fermentés et ont entraînés la production de gaz carbonique. Ensuite, le choix de ne filtrer que grossièrement pour conserver toute la matière et la richesse aromatique, s’est révélé intéressant en terme de goût, mais les lies sont aujourd’hui un support à la prise de mousse. Toute aspérité renforce l’expression de la bulle. Essayez de servir un champagne dans un verre sale, vous verrez !
Et vous, vous accepteriez d’acheter chez le caviste, une bouteille aussi effervescente ? moins
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