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Nous replantons ici, l'ensemble des cépages oubliés historiques de Bordeaux,
dans une approche biodynamique, respectueuse du terroir.
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Découvrez ce qu'il se passe dans notre domaine en ce moment !
On continue avec la présentation de l’équipe qui nous a permis de vendanger ce millésime 2019. Ici, Bruno en...
On continue avec la présentation de l’équipe qui nous a permis de vendanger ce millésime 2019. Ici, Bruno en train de vider une benne.
Passionnante lecture sur la démarche de Lilian Berillon, pépiniériste, racontée avec Laure Gasparotto. Proposer...
Passionnante lecture sur la démarche de Lilian Berillon, pépiniériste, racontée avec Laure Gasparotto. Proposer des plants sains, de qualité, issus d’un travail de sélection massale rigoureuse. Il s’agit pour lui d’arpenter les vignobles de France, d’isoler des individus sains, de prélever en hiver des bois pour ensuite les greffer (en privilégiant la greffe en fente), sur des porte-greffes adaptés aux terroirs. La démarche si évidente de Lilian Berillon est pourtant très marginale dans le vignoble. Les plants sont généralement issus de clones et greffés en oméga. Pourquoi ? 1- parce que la sélection massale coûte cher 2- parce que la greffe en fente est plus coûteuse que la greffe oméga (sans parler des greffes tbud ou chipbud réalisées directement sur pied dans la vigne). 3- parce que le viticulteur ne disposera par des mêmes subventions à la plantation s’il choisit des plants en sélection massale. Cela ne fait qu’amplifier le fossé d’une viticulture à deux vitesses avec de grandes propriétés prenant peu à peu conscience de l’importance du végétal et de petites propriétés fragiles ne pouvant se passer des subventions, plantant nécessairement des clones (et demain des cépages résistants). Ces subventions privilégiant les plants clonés sont clairement absurdes. On incite les vignerons à planter des vignes condamnées à dépérir plus rapidement. Dans les années 70, ces clones qualitatifs étaient perçus comme une opportunité de produire mieux. Aujourd’hui, on se rend compte que rien ne peut remplacer la diversité génétique. Les plus grands vins, issus de vieilles vignes, sont issus de cette diversité. On va continuer notre travail à Cazebonne, en privilégiant le surgreffage à la vigne, en travaillant sur les sélections massales, en réintroduisant les cépages oubliés de Bordeaux. On a de quoi s’occuper dans les prochaines décennies !
Fin de vendanges. Focus sur les hommes (et femmes) qui ont permis ce millésime. Ici Benjamin, en train de vider une benne de...
Fin de vendanges. Focus sur les hommes (et femmes) qui ont permis ce millésime. Ici Benjamin, en train de vider une benne de vendange sous l’œil attentif de Bruno.
Clap de fin. Toutes nos cuves ont désormais fini leurs fermentations et sont écoulées. On va déguster tous ces...
Clap de fin. Toutes nos cuves ont désormais fini leurs fermentations et sont écoulées. On va déguster tous ces jus la semaine prochaine pour voir lesquelles vont faire l’objet d’un élevage en barriques ou amphores.
Retour sur les vendanges avec cette main pleine d’espoir sur le potentiel de cette récolte. Ici, une benne de cabernet...
Retour sur les vendanges avec cette main pleine d’espoir sur le potentiel de cette récolte. Ici, une benne de cabernet sauvignon vendangée à la machine avant tri.
On presse maintenant notre première cuve de cabernet sauvignon. Les fermentations sont finies. Les malos également. Cela a...
On presse maintenant notre première cuve de cabernet sauvignon. Les fermentations sont finies. Les malos également. Cela a été supersonique cette année sur le cabernet sauvignon et tout cela sur levures naturelles. On a décidé de ne pas trop extraire, pour préserver les équilibres et vous proposer une cuvée très gourmande, sur le fruit. Cela sent super bon !