Le cépage Petit Verdot

Nous avons rentré hier notre plante de Petit Verdot. Quarante caisses, 500 kilos de vendange. Pas si mal au final sur cette parcelle de moins de 30 ares. Les peaux étaient bien mûres. On aurait pas gagné à attendre même si la malique est élevée. Mais c’est souvent le cas sur le Petit Verdot.

Silence, ça pousse ! Petit Verdot sur notre parcelle de Darche.

Nos jeunes vignes de petits verdots sont bien réparties après le gel. On ne pas devrait récolter grand chose, mais on essaiera d’en faire une petite cuvée en assemblage avec d’autres cépages anciens.

On va récolter nos premières grappes de petit verdot sur notre parcelle de Darche. Un joli terroir qui ne soufre pas trop de la sécheresse et qui convient au petit verdot. En tout cas, ce n’est pas encore mûr. Il va falloir patienter en espérant une petite pluie qui ne ferait pas de mal au Cabernet-sauvignon, Mancin et autre Petit Verdot.

Les ampélographes nous ont non seulement laissés des ouvrages incontournables, mais ceux ci étaient souvent illustrés de très belles gravures. Ici, représentation du Petit Verdot dans Le vignoble par A. Mas et V. Pulliat, paru en 1877.

Saurez vous reconnaître ce cépage bordelais dont la feuille est en forme de coeur ?

Sur notre plantation de petits verdots de l’année dernière, on attache le mandron au fil. On va former un joli cep. Et ces plantes ne soufrent pas de la chaleur, preuve de leur bon enracinement. Mais un peu de pluie ne ferait quand même pas de mal !

Grappes de petit verdot dans nos plantations de l’année dernière. Déjà quelques grappes, malgré la grêle de l’année dernière, signes de vitalité pour ce pied.

Ce pied de petit verdot, planté l’année dernière, nous donne déjà une grappe. Mais on ne devrait récolter qu’à partir de l’année prochaine !