Nous replantons ici,
l'ensemble des cépages oubliés historiques de Bordeaux,
dans une approche biodynamique, respectueuse du terroir.

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Ce document est une pièce maîtresse pour comprendre les raisons qui ont amené au choix des cépage...
Ce document est une pièce maîtresse pour comprendre les raisons qui ont amené au choix des cépages que l’on connaît à Bordeaux dans le...
Ce document est une pièce maîtresse pour comprendre les raisons qui ont amené au choix des cépages que l’on connaît à Bordeaux dans le cadre de la création des premières AOC en 1935. L’auteur s’appuie sur toute la littérature du 19eme siècle qui plébiscite la qualité du cabernet-sauvignon, merlot et autres saivignons/sémillons. Il en conclut donc qu’il faut adopter ces cépages sans hésitation aucune. Les cépages accessoires sont tolérés en 1935 et on donne 10 ans au vigneron pour les arracher. Cela sera le cas après le gel de 1956 et la nécessité de replanter une grande partie du vignoble. Les cépages accessoires vont définitivement disparaître à Bordeaux au profit du merlot en rouge et du sauvignon en blanc. Sans contester la qualité des cépages que Bordeaux a choisi, le raisonnement de George Bord me paraît contestable sur deux points. Les auteurs du 19eme siècle vont principalement visiter les vignobles du Medoc et de Sauternes, propriétés de 1855, aux surfaces en vigne déjà conséquentes. Il faut rappeler que le pont de Pierre n’a été construit qu’au milieu du 19eme siècle et rendait plus compliqué l’accès aux vignobles de la rive droite. Ces propriétés medocaines et sauternaises avaient des régisseurs compétents capables de magnifier la qualité des cépages de la rive gauche. En 1850, il y a 200 000 vignerons en Gironde et on peut naturellement croire que ces petites exploitations était difficilement à même de produire des vins intéressants avec leurs cépages locaux. De là à conclure, que les cépages, qu’ils vinifiaient étaient moins qualitatifs… Troisième point, au 19eme siècle, le vignoble est en franc de pied et rend nécessaire la parfaite adéquation d’un cépage à un terroir. Le cabernet-sauvignon en dehors des sols de Graves était sujet au pourridié. Il ne pouvait pas s’implanter sur à rive droite. C’est la généralisation de la greffe après le phylloxera qui rend possible la diffusion plus large des cépages médocains sur la rive droite. Sans cet essai, l’encepagement bordelais n’aurait peut-être pas été le même. Charge à nous, vignerons bordelais, de replanter et redonner ses chances à ce très riche patrimoine ampélographique. Nous y trouverons certaines solutions pour l’avenir. moins
Quand le blanc auba fermente, cela donne de drôles de messages !
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Dans le Sud-Ouest du jour, un joli papier sur notre travail de replantation des cépages historiques de Bordeaux. Article à l’occasion des portes ouvertes dans 69 châteaux de Graves. Nous aurons l’occasion de vous faire goûter une vingtaine de cuvées dont 3 cuvées de cépage oubliés. Restauration prévue le samedi et dimanche midi avec un éleveur de veau bazadais. Concert de l’artiste Alexandre Charles à 12h le samedi et dimanche. On vous attend nombreux avec le sourire, et on l’espère, le soleil. moins
Qu’est ce qui fermente ici, à votre avis ?
Qu’est ce qui fermente ici, à votre avis ? moins
Magnifique blanc auba, c'est le dernier cépage que l'on vendange. Quelques grappes pour faire des...
Magnifique blanc auba, c’est le dernier cépage que l’on vendange. Quelques grappes pour faire des essais et comprendre son potentiel et...
Magnifique blanc auba, c’est le dernier cépage que l’on vendange. Quelques grappes pour faire des essais et comprendre son potentiel et voir s’il nous apporte des solutions pour l’avenir. En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’il faut savoir l’attendre et il est très peu sensible à la pourriture grise. moins
Et si le Merlot blanc revenait sur le devant de la scène ? Article paru dans Sud-Ouest ce jour, à...
Et si le Merlot blanc revenait sur le devant de la scène ? Article paru dans Sud-Ouest ce jour, à l’occasion de la mise en marche d’une...
Et si le Merlot blanc revenait sur le devant de la scène ? Article paru dans Sud-Ouest ce jour, à l’occasion de la mise en marche d’une cuvée de Merlot blanc par les frères Todeschini. Nous prévoyons d’en surgreffer au printemps dans notre parcelle conservatoire de Cazebonne. Pour en savoir plus sur ce cépage : Le Merlot Blanc est issu d’un croisement entre le Merlot et la Folle blanche, et non d’une mutation du merlot comme parfois évoqué dans la littérature. Ce cépage a été découvert en 1891 par M. Guinaudie, propriétaire à Lalande de Pomerol, qui aurait découvert ce cépage, lors d’une chasse en dehors du département. Il le baptisa Merlot blanc pour la ressemblance de la feuille et la sensibilité de la grappe aux attaques du mildiou. Le pépiniériste Jean Elie travailla ensuite à sa propagation en Gironde, un cépage qui fut particulièrement apprécié pour sa régularité de production. C’est un cépage productif, avec un degré alcoolique supérieur à l’ugni blanc. Ses grappes sont compactes, ce qui le rend sensible à la pourriture. Son débourrement est précoce, ce qui le rend sensible aux gelées printanières. En terme de maturité, il est de deuxième époque tardive. Le Merlot blanc a été inscrit parmi la liste des cépages principaux de l’Entre-Deux-Mers dans le decrét de 1936. Les cépages principaux devaient représenter au minimum les deux tiers de l'assemblage final. Il devient un cépage secondaire dans les années 1950, avant de disparaître totalement de la plupart des décrets d’appellation bordelais. Encore autorisé en Bordeaux si moins de 30% de l’assemblage. moins
Mine des mauvais jours quand je traverse tout Paris pour aller faire goûter à un caviste qui n'es...
Mine des mauvais jours quand je traverse tout Paris pour aller faire goûter à un caviste qui n’est pas là et qui a oublié notre...
Mine des mauvais jours quand je traverse tout Paris pour aller faire goûter à un caviste qui n’est pas là et qui a oublié notre rendez-vous. #vigneronplusbeaumetierdumonde moins
Clap de fin des vendanges. Nous avons fini hier, le 7 octobre, avec nos cépages tardifs expérimen...
Clap de fin des vendanges. Nous avons fini hier, le 7 octobre, avec nos cépages tardifs expérimentaux : gros cabernet, gros verdot et...
Clap de fin des vendanges. Nous avons fini hier, le 7 octobre, avec nos cépages tardifs expérimentaux : gros cabernet, gros verdot et autres blanc auba. Quelques grappes pour voir ce que donnent ces cépages et s’ils méritent une réhabilitation. Avec une attention toute particulière pour le prometteur blanc auba. moins
En dégustation chez David Morin, meilleur caviste de France 2022. Merci David pour ton accueil !
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