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Après la taille, le Saint-Macaire est en pleurs. C’est la sève qui repart, le compte à rebours est enclenché jusqu’au débourrement. On va juste espérer que les températures ne remontent pas trop vite en mars, histoire d’éviter les gelées de début avril, qui nous ont été fatales l’année dernière. Le Saint-Macaire est un cépage qui débourre précocement, ce qui le rend fragile face au gel.

Lundi, mardi et mercredi, nous serons au salon Millésime Bio. Stand 945 Hall B3. Venez nous rendre visite !

Sécaillage : on change les piquets abîmés, on pourra ensuite rendre les fils, caler les pieds et on sera prêt pour démarrer la saison !

Mon ami Michel Elie me fait suivre cet article publié ce jour dans le journal Haute Gironde. Un article au sujet de notre livre, Bordeaux, une histoire de cépages. Le Blayais/Bourgeais a longtemps eu un encépagement assez unique, avec la petite belle au Malbec, au Mancin, à la Pardotte, ou Prolongeau (Bouchalès). Le pépiniériste et viticulteur Jean Elie y a d’ailleurs créé la famille des cabernet-malbecs (les numéros 2 et 4 notamment) et a été un des principaux acteurs de la diffusion de Merlot blanc en Gironde. Merci à Christophe Meynard pour cet article riche et précis.

A Bazas, à l’occasion de la fête du Boeuf gras, pour accompagner un magnifique porc fermier de la Ferme Lou Bazades.

À votre avis, qu’est ce que l’on fait, là ?

De jolis culs… de bouteille. Il paraît que c’est un hommage à Cazebonne de la part de l’artiste Pascal Drai ! On reconnaît bien en tout cas la forme de la bouteille bordelaise. Merci l’artiste !

On vous présentait hier notre première cuvée de cépages oubliés à base de Jurançon noir. Voici la cuvée Comme en 1900, 18 mois d’élevage en barrique et amphore, de 5 cépages historiques : Mancin, Castets, Bouchalès, Saint-Macaire et Jurançon noir. Très heureux. Et c’est très très bon !