En attente

La gastronomie est en deuil. Après Bocuse, Robuchon, un autre très grand de la cuisine s’en est allé. RIP Pierre Troisgros. moins

La table de tri nous a réservé quelques surprises. Ces escargots ne finiront pas dans la cuve ! moins

Merci à vous tous de suivre nos aventures sur Facebook, sur Instagram. Nous avons battu tous les records ce dernier mois. 222 000 personnes ont consulté l'une de nos publications (sur Facebook dans le tableau). On va continuer à vous raconter notre histoire de vigneron, au quotidien, avec ces hauts et ses bas. Sans filtre, toujours. moins

Notre dernière acquisition. Un congélateur de 400 litres pour pouvoir congeler du moût. Cela va nous servir cette année pour la réalisation de notre premier Petnat. Pour sa réalisation, il faut conserver autour de 15 grammes de sucre en bouteille avant mise. Ce sucre fermentera ensuite en bouteille pour faire la bulle. Jamais simple d’arrêter une fermentation, alors l’idée est d’ajuster avec un moût du même raisin qui aura été congelé au préalable. Une bonne vieille règle de 3, et on aura le taux de sucre attendu dans la bouteille. moins

La vigne pousse. Il nous faut écimer pour éviter que le mildiou mosaïque ne se propage sur ces jeunes feuilles sensibles.

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A paraître très prochainement Inside Bordeaux par Jane Anson (déjà en prévente à la librairie Mollat). Un livre sur les vins de Bordeaux qui a pour originalité de sortir des chemins battus et de mettre en lumière des propriétés singulières. Nous sommes fier d’en faire partie pour notre travail autour des cépages oubliés de Bordeaux et notre démarche en Bio et Biodynamie. Merci à Jane Anson. moins

Premier traitement de la saison aujourd’hui, avant les pluies annoncées pour le week end. L’année dernière, nous avions commencé le 19 avril, assez comparable au final. On a fait un traitement sur la moitié du domaine, sur les cépages les plus avancés, les blancs comme le merlot, le cabernet franc, le malbec. Pas de traitement sur les plantes, pas de traitement sur le cabernet sauvignon. Pour ce premier passage, tisane dynamisée de prêle, 100g de cuivre par hectare, 2kg de soufre. Pour rappel, en Bio, nous traitons aussi le cuivre n’est pas totalement anodin pour la nature. Tout l’enjeu est donc de contrôler les quantités, de bien gérer sa saison. Mais le cuivre est un élément naturel, présent dans les sols et utile à la vie de certaines plantes. C’est donc la dose qui fait le poison. A nous de gérer cela en bonne intelligence.

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