L'histoire de la vigne

Plus de 8000 ans d'histoire pour la vgne. On retrouve les premières traces de vinification en Georgie. Depuis les hommes n'ont eu de cesse de sélectionner des cépages adaptés à leurs terroirs.

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C'est Pline l'ancien, au 1er siècle après JC, qui le dit... Semer des céréales dans les rangs de ...
C’est Pline l’ancien, au 1er siècle après JC, qui le dit... Semer des céréales dans les rangs de vigne est bénéfique à la qualité du...
C’est Pline l’ancien, au 1er siècle après JC, qui le dit... Semer des céréales dans les rangs de vigne est bénéfique à la qualité du raisin. C’est ce que l’on fait à Cazebonne dans l’inter rang pour produire de la paille et renforcer la matière organique dans les sols. BD : L’incroyable histoire du vin de Simmat et Casanave, une lecture que l’on ne peut que vous recommander... moins Catégories: Les couverts végétaux, L'histoire de la vigne
Les bituriges, nos ancêtres girondins, ont été chercher des plants de vigne en Espagne dans les c...
Les bituriges, nos ancêtres girondins, ont été chercher des plants de vigne en Espagne dans les contreforts des Pyrénées pour trouver des...
Les bituriges, nos ancêtres girondins, ont été chercher des plants de vigne en Espagne dans les contreforts des Pyrénées pour trouver des cépages s’adaptant au climat océanique humide. Ils ramènent le Vitis Biturica, probablement un cépage de la famille des Carmenet, certains disent même le Cabernet Franc. BD : L’incroyable histoire du vin moins Catégories: Les cépages de Bordeaux, L'histoire de la vigne
Passionnant de se replonger dans l'histoire pour comprendre ce qui a permis l'émergence de grands...
Passionnant de se replonger dans l'histoire pour comprendre ce qui a permis l'émergence de grands vins. Dans la Querelle des anciens et...
Passionnant de se replonger dans l'histoire pour comprendre ce qui a permis l'émergence de grands vins. Dans la Querelle des anciens et des modernes sur les facteurs de la qualité du vin (1952), Roger Dion nous explique que la notion moderne de terroir en adéquation à des cépages, n'a pas toujours prévalue. D'abord, les grands vins étaient le privilège des puissants, parce que produire un grand vin coûtait cher : il fallait être capable de transformer des sols pauvres en sols permettant l'élaboration de grands vins : amendement, drainage des sols... De nombreux écrits attestent d'ailleurs que le prix d'un vin variaient en fonction de l'origine sociale de son propriétaire : « Dans la réputation des crus de grave il y a beaucoup d'entêtement, car souvent, de deux pièces de vigne séparées par un sentier, dont l'une appartient à, un président ou homme de distinction, celle-ci se vendra beaucoup plus cher que celle qui appartiendra à un paysan. » En deuxième lieu, il ne pouvait y avoir des vins de qualité qu'à proximité des grandes villes ou de voies de circulation, de voies fluviales, car il fallait un débouché pour pouvoir écouler ces crus. Faute de débouchés, les productions locales sont donc souvent restées des productions de vins de paysan, de faible qualité, quand bien même les terroirs étaient de qualité. L'auteur nous montre que la qualité des terroirs avait une importance, mais que ce critère n'intervenait qu'en second plan. Historiquement, le terroir est donc avant tout une construction de l'homme et les grands terroir d'aujourd'hui sont l'héritage de ces siècles d'histoire. moins Catégories: L'histoire de la vigne
Et si les Graves avait été injustement oubliés dans le classement de 1855 ? Retrouvé dans Aperçu ...
Et si les Graves avait été injustement oubliés dans le classement de 1855 ? Retrouvé dans Aperçu...

Et si les Graves avait été injustement oubliés dans le classement de 1855 ? Retrouvé dans Aperçu historique sur les vins de Graves : « C'est seulement au commencement du XIXe siècle que le Médoc commença à établir sa suprématie sur les autres vins de la Gironde ; et c'est la classification de 1855 qui l'établit jusqu'à ce jour. En 1851, une épouvantable attaque d'oïdium s'abattit sur la Gironde, et, d'une façon toute spéciale, sur la région des Graves. Lorsque, quatre ans plus tard, la classification eut lieu, on laissa de côté le pays ravagé, et, c'est sur la foi de cette classification incomplète que repose encore la supériorité du Médoc. » Les Medocs avaient une notoriété toute récente en 1855, alors que les vins de Graves étaient incontestablement les plus réputés quelques décennies plus tôt. L'apparition de l'oïdium dans le Bordelais, a certainement fortement contribué à exclure les Graves du classement de 1855.

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