Entre vignerons replantant des cépages oubliés, il y a une soif de savoir qui nous rassemble. Benoit Périssé a repris il y a deux ans des vignes dans le bergeracois. Parmi ces parcelles, il a réussi à identifier 20 ares plantées en bouchalès, appelé grappu de part chez lui. C’est très riche pour nous d’apprendre de ses essais de vinification, de découvrir que le bouchales est un cépage de belle couleur, qu’il faut vendanger bien mûr à la fin du mois de septembre. Il donne au final un vin peu alcoolisé et plein de fruit. On comprend pourquoi il a été abandonné, il ne donnait pas assez d’alcool (autour de 9 degrés au 19eme). Très intéressant tout cela avec le réchauffement climatique qui nous menace, tous les jours un peu plus. On a hâte de rendre visite à Benoit pour déguster ses premières cuvées.

Entre vignerons replantant des cépages oubliés, il y a une soif de savoir qui nous rassemble. Benoit Périssé a repris il y a deux ans des vignes dans le bergeracois. Parmi ces parcelles, il a réussi à identifier 20 ares plantées en bouchalès, appelé grappu de part chez lui. C’est très riche pour nous d’apprendre de ses essais de vinification, de découvrir que le bouchales est un cépage de belle couleur, qu’il faut vendanger bien mûr à la fin du mois de septembre. Il donne au final un vin peu alcoolisé et plein de fruit. On comprend pourquoi il a été abandonné, il ne donnait pas assez d’alcool (autour de 9 degrés au 19eme). Très intéressant tout cela avec le réchauffement climatique qui nous menace, tous les jours un peu plus. On a hâte de rendre visite à Benoit pour déguster ses premières cuvées.

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