Connaissez le Petit Péjac ? Pour la première foi, cette année, nous vinifions 200 kilos de ce cépage historique de l’est de la Gironde. Il apparaît dans la liste des cépages recommandés par les associations girondines, dans le cadre de l’application de la loi Capus. Ce député de la Gironde a beaucoup œuvré pour que seuls les cépages sanctifiés par une coutume locale loyale et ancienne puissent être utilisés dans le cadre de l’appellation. Pour en revenir au Petit pejac, il aurait été découvert par un certain Péjac à l’ouest du Lot et Garonne. Il est référencé par Cazaux-Cazalet dans l’ampélographie de Viala et Vermorel de 1910. Les plants en conservatoire ont été retrouvés à Cocumont dans les années 1950. Il nous donne cette année un degré modéré (autour de 12) pour un pH moyen (3,69). Les baies goûtent très bien. Hâte de voir ce que cela va donner une fois vinifié.

Connaissez le Petit Péjac ? Pour la première foi, cette année, nous vinifions 200 kilos de ce cépage historique de l’est de la Gironde. Il apparaît dans la liste des cépages recommandés par les associations girondines, dans le cadre de l’application de la loi Capus. Ce député de la Gironde a beaucoup œuvré pour que seuls les cépages sanctifiés par une coutume locale loyale et ancienne puissent être utilisés dans le cadre de l’appellation. Pour en revenir au Petit pejac, il aurait été découvert par un certain Péjac à l’ouest du Lot et Garonne. Il est référencé par Cazaux-Cazalet dans l’ampélographie de Viala et Vermorel de 1910. Les plants en conservatoire ont été retrouvés à Cocumont dans les années 1950. Il nous donne cette année un degré modéré (autour de 12) pour un pH moyen (3,69). Les baies goûtent très bien. Hâte de voir ce que cela va donner une fois vinifié.

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